Pourtant les besoins existent.
Les collègues ont envie de relever la tête du guidon, sortir du cadre de la classe, échanger à propos de leur pratique et surtout bénéficier d’un véritable apport pédagogique dispensé par des intervenants de qualité. Et le quota de formation obligatoire dispensée au sein des circonscriptions est loin de répondre à ces attentes.
De plus, face aux agressions systématiques du gouvernement et de certains médias qui ne cessent de pointer les déficiences " supposées " de l’enseignement public, faisons savoir à notre administration que nous sommes plus que jamais demandeurs d’une formation continue de qualité dans le département.
Denis Deydier